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occupe une position horizontale, l’eau ne doit pas y rester dans une quantité trop abondante.

Quand le papier n’est pas trop fort, on l'imbibe, à l’éponge, du côté qui doit être appliqué à la pierre; l’autre côté, de cette manière, conservera un peu plus de force. L’éponge doit être assez forte et consistante. Pour le papier très-fort, il vaudra mieux le tremper en pleine eau, afin de l’en bien saturer. Si, pendant l’opération, le papier devient trop sec (ce qui parfois arrive par l’effet du soleil et du vent), on peut le retremper sans crainte même du côté de face.

III. L’estampage.

Application du papier mouillé à la pierre. Emploi de la brosse.

On applique le papier, de son côté mouillé, à la pierre, en commençant par le haut, surtout quand elle se trouve dans une position verticale, comme à l’ordinaire. Quand le plan de l’inscription est horizontal, il n’y a pas de difficulté; il faut un peu plus d’habileté, quand il est convexe, comme celui des colonnes milliaires. Si l’inscription se trouve dans une position très-haute, enchâssée, par exemple, dans une muraille, l’application du papier, à l’aide d'une échelle, offre, quelquefois, de sérieuses difficultés. Pour bien fixer le papier, un mouchoir ou l’éponge sèche suffit, pourvu que, quand le monument est en plein air, le vent ne souffle pas trop fort. Le tampon de linge, recommandé par Mr. Tastu, sera rarement à la disposition du voyageur épigraphiste; il ne pourra, du reste, qu’être utile. Les bulles d’air, qui pourraient demeurer sous le papier, doivent être chassées vers le bas ou vers les côtés de la feuille.

Vient ensuite l’emploi de la brosse, lequel est la partie essentielle de toute l’opération. La brosse (ou vergette plate), doit avoir des crins assez longs et serrés, comme les brosses moyennes à habits; elle sera plus facile à manier, si elle est faite à la manière des brosses pour chevaux, ou si elle a un manche ou une poignée qui se trouve dans un plan plus haut d’environ 5 à 8 centimètres que la brosse elle-même; on battra ainsi plus facilement le papier. On frappe donc avec la brosse, en commençant par le haut de la pierre, aussi fort que possible, afin que le papier entre dans chaque ciselure de l’inscription. Peu importe que le papier se brise çà et là dans les creux. En général, ces fissures n’empêchent pas l’usage de l’estampage;

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Emil Hübner: Über mechanische Copieen von Inschriften. Weidmannsche Buchhandlung, Berlin 1881, Seite 26. Digitale Volltext-Ausgabe bei Wikisource, URL: https://de.wikisource.org/w/index.php?title=Seite:H%C3%BCbner_%C3%9Cber_mechanische_Copieen_von_Inschriften.djvu/30&oldid=- (Version vom 1.8.2018)