ihnen zurück stehen müßten, wenn Rang und Titel nach der Nützlichkeit der Staatsdiener bestimmt und ausgetheilt würden.
10. Es leidet also vorzüglich die iustitia distributiva darunter, welche doch jedem Regenten heilig und unverletzlich seyn soll.
Ich schließe diese Betrachtung mit einer ganz hieher passenden Stelle aus dem Buche la politique naturelle Tom. I. Discours IV. §. 13.
Ce n’est, que pour son bien, que la Société peut consentir à l’inégalité, qui s’établit entre ses membres; – l’utilité est la source légitime des rangs, des titres, des honneurs, que l’on accorde à quelques sujets préferablement aux autres – les hommes ne peuvent raisonnablement faire céder leurs penchants propres à ceux de leurs semblables, qu’en vertu des avantages, qui en résultent pour eux-mêmes. Le citoyen distingué prend donc des engagements avec ceux, qui le distinguent; ceux-ci ne peuvent avoir pour lui le sentiment, qu’il demande, que lorsqu’il remplit à leur égard ces conditions de ses engagements. C’est un abus, que de considérer ou de distinguer l’inutilité etc. Pesons les avantages, que procurent à l’etat
Anonym: Gedanken über einige Staatskalender im Fränkischen Kreise in: Journal von und für Franken, Band 5. Raw, Nürnberg 1792, Seite 162. Digitale Volltext-Ausgabe bei Wikisource, URL: https://de.wikisource.org/w/index.php?title=Seite:Gedanken_%C3%BCber_einige_Staatskalender_im_Fr%C3%A4nkischen_Kreise.pdf/5&oldid=- (Version vom 11.9.2022)
